Notre partenaire En Route Pour Tokyo a rencontré le pongiste francilien juste avant son départ pour les Championnats d’Europe de tennis de table en Slovénie ! Après avoir remporté une médaille de bronze aux Championnats du Monde de tennis de table en mai dernier à Bratislava, Kevin Dourbecker est bien parti pour accéder au podium même si cela ne sera pas si simple. Rencontre sous le signe de la détermination !
Pour commencer, où en es-tu de ta préparation pour cette dernière grosse échéance de 2017 ?
On a fait un stage tous ensemble à la mi-septembre à Bourges, et j’ai vécu une bonne semaine en trouvant de super sensations. J’avais fait le choix de couper cet été pour baser ma préparation sur cinq semaines.
J’ai fait de grosses séances jusqu’aux Championnats d’Europe avec un tournoi valide juste avant de partir. J’ai faim de compétition et je suis très heureux d’avoir retrouvé la salle, donc tout va bien !
Quels sont tes objectifs sur ces championnats ?
Comme d’habitude, d’aller le plus loin possible et de me mêler à la lutte pour les médailles.
Il faut attendre le tirage au sort pour voir ce que l’on peut viser, mais en tout cas je ne lâcherai pas un match.
Qui crains-tu le plus en individuel ?
Bien évidemment les deux meilleurs mondiaux, l’ukrainien Maksym Nikolenko et le britannique William Bayley.
Ils font de super résultats depuis le début de la saison. Si on peut les éviter en quart de finale c’est mieux, même si je pense franchement que sur un match tout est possible.
Et pour le « par équipe » ?
Je devrais jouer avec Stéphane Messi et Bastien Grundeler.
Il y a quatre équipes qui sortent, à mon avis, du lot : l’Ukraine, bien sûr, avec les numéros un et trois mondiaux (Nikolenko et Popov), la Grande Bretagne, toujours forte, l’Espagne, championne Paralympique en 2012 et nous.
Si tout le monde tient son rang, cela devrait donner de jolis matchs en phase finale.
Retrouvez d’autres interview d’athlètes paralympiques sur En Route Pour Tokyo !
Rencontrez un talent !
Partenariat
© 2024 Talentéo. Toute reproduction interdite sans l’autorisation de l’auteur.