Photo du serious game Bipolife400 000 à 500 000 personnes sont touchées par les troubles bipolaires en France. Caractérisée par l’alternance d’épisodes dépressifs – baisse de l’humeur – et d’épisodes maniaques – expansion de l’humeur -, cette maladie chronique fréquente est pourtant mal diagnostiquée. « Bipolife » propose une approche socioéducative grâce à un serious game. L’objectif ? Se mettre dans la peau d’une personne souffrant de trouble bipolaire, afin de mieux comprendre l’impact de cette maladie dans le quotidien.

Le premier outil interactif pédagogique dédié aux troubles bipolaires

Elaboré et validé par un comité scientifique, Bipolife permet à l’utilisateur de faire évoluer un personnage virtuel atteint de troubles bipolaires à travers un ensemble de situations et d’actions de la vie courante.

Cet outil permet aux personnes atteintes de troubles bipolaires et à leur entourage de mieux comprendre les mécanismes de la maladie et ainsi de mieux y faire face.

« En observant l’impact des choix et des actions de son personnage sur l’humeur de ce dernier, l’utilisateur apprend à différencier les comportements nuisibles des comportements favorables à la stabilisation de sa maladie », explique le Dr Philippe Nuss, Psychiatre et membre du comité scientifique.

Humeur du jour : vous êtes triste.

Une simulation réaliste

Une horloge temporise ses actions dans une journée et sur plusieurs jours tandis qu’une jauge d’énergie matérialise l’énergie nécessaire à la réalisation de chaque action et le temps de récupération nécessaire.

L’irrégularité du rythme de vie d’un malade bipolaire aura ainsi un impact particulièrement délétère sur l’évolution de sa maladie et son confort au quotidien. « En testant les comportements de son avatar qui se traduisent en « bonus » ou « malus » d’humeur, le patient apprend à structurer ses journées, à réguler son rythme de vie, de façon à économiser ses ressources pour mieux faire face à la maladie. » complète le Dr Philippe Nuss.

« A notre connaissance, aucune autre simulation n’a ce parti pris d’ancrage dans la réalité la plus immédiate » commente le Dr Philippe Nuss. « Nous voulions envoyer un message clair aux patients bipolaires et à leur entourage : dans une maladie chronique de ce type, si certains comportements sont susceptibles d’aggraver l’état de santé du patient, d’autres très simples et quotidiens peuvent considérablement l’améliorer. Il faut savoir les reconnaître. »

Rendez-vous sur le site Internet Bipolife.

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