En cette journée mondiale de sensibilisation à la maladie de Parkinson, nous continuons notre exploration des préjugés à briser. Cette fois-ci Talentéo a pu compter sur Peter PATFAWL et WonderParki pour décaper 5 stéréotypes. C’est parti !
1/ Les personnes atteintes de Parkinson ne peuvent plus travailler.
Faux. De nombreuses personnes continuent à travailler pendant des années après le diagnostic, avec des aménagements adaptés. Ces adaptations peuvent être organisationnelles, comme des horaires flexibles, du télétravail ou encore des jours de congés dédiés aux soins.
2/ Les personnes concernées par la maladie de Parkinson ne sont plus capables de se concentrer ou d’être efficaces
Faux. La maladie affecte principalement la motricité, et bien que certains troubles cognitifs puissent apparaître, ils ne sont pas systématiques ni forcément invalidants.
3/ Elles sont constamment tremblantes et incapables d’effectuer des tâches précises.
Faux. Tous les patients ne présentent pas des tremblements, et certains symptômes peuvent être bien contrôlés par les traitements. Tout cela fait d’ailleurs que la maladie de Parkinson est le plus souvent un handicap invisible.
4/ Elles doivent systématiquement partir en retraite anticipée.
Faux. Avec des adaptations de poste (horaires flexibles, pauses régulières, ergonomie améliorée), beaucoup peuvent poursuivre leur activité professionnelle. Ici aussi, ce qui compte c’est d’abord la bienveillance de l’entreprise.
5/ Le stress du travail aggrave forcément la maladie.
Pas totalement vrai. Le stress peut influencer les symptômes, mais une activité professionnelle stimulante et bien encadrée peut aussi être bénéfique pour le moral et le bien-être du patient.
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